J'ai besoin de votre soutien [PV Talia]

Lors de la rencontre avec le chef du Régime, Arthur resta un long mois dans son royaume sous-marin. Il cherchait un moyen de contredire son ancien compagnon, son ami, depuis devenu un tyran avide de pouvoir et d'autorité sur l'espèce humaine. Depuis ce jour, la menace de Clark pesait encore sur les épaules d'Arthur, l'atlante hésiter à retrouver la terre ferme et pourtant, il devait agir rapidement.

Assis sur le trône atlante, l'homme pensait, à qui demander un coup de main dans ce combat qui semblait perdu d'avance. Les groupes disponibles se battaient déjà les uns contre les autres et certaines équipes n'avaient plus donnés de signe de vie depuis un bon moment.

Les heures passèrent, Arthur imaginait toutes les situations possibles pour éviter le contrôle total du régime. La menace de Superman planant toujours au-dessus de sa tête comme une épée de damoclès. Quand l'iée de Black Manta se forma dans son cerveau. Impossible, ce mec est une vrai menace pour le royaume et surtout le pire ennemi du roi. Arthur l'oublia et une autre idée lui vint.

Il abandonna son poste sans attendre et s'élança dans les eaux profondes de l'océan en direction de l'Asie. Il ne faut pas longtemps au souverain pour atteindre les côtes asiatiques et rejoindre les montagnes du tibet.

- Bon, je suis sur place. Comment puis-je faire pour trouver la ligue ? Se raconta Arthur.

Le vent glacial lui couper la peau, ses poils s'hérissaient. Ses lèvres commençèrent à bleuir. Il s'imaginait certainement que la Ligue des ombres pouvait l'aider dans sa futur entreprise contre le régime. Comme ont dit souvent, qui ne tente rien, n'a rien.

L'atlante attendait avec patience dans ce décor blanchâtre, les montagnes à perte de vue. Un monde sauvage, solitaire, rien ne semblait pouvoir vivre dans cette espace. Des voluptes de neige se levèrent, sous les rafales passagère du vent. L'homme restait planté là, son trident en main.

Les minutes passèrent, l'homme ne bougeait pas, il cherchait un moyen de pouvoir contacter les locataires des lieux. Il ne savait même pas où se trouvait cette cité légendaire, ce repaire secret de la Ligue des assassins et une question se posa chez Aquaman. La tête de démon viendra-t-elle? Qui osera venir à la rencontre d'un inconnu, sur un territoire sauvage. Arthur planta son trident dans le sol neigeux et patienta.

Soudain, une ombre fit son apparition, une femme, la démarche féline ne pouvait pas omettre d'autres suppositions. Une femme sexy à souhait, vêtue d'une combinaison extra-moulante, comment fait-elle pour ne pas avoir froid dans ce décor. Une question bête, puisqu'il venait ici-même, le torse nu, le mordant du froid n'ayant aucun impact sur son corps. Elle avait une arme, une épée à première vue, ses longs cheveux se balançant aux grès de ses envies. quand, elle lui posa la question, avec un ton menaçant.

Arthur retira son trident, la main ferme sur le manche. Les yeux brillants de fougue, la jeune femme avait quelque chose d'attirant. Il prit le temps de lui répondre.

- Je suis à la recherche de la Ligue. J'aimerais rencontrer le seigneur de ces terres pour une entrevue de la plus haute importance.

Le seigneur de l'Atlantide baisa la tête en signe de respect, une main sur la poitrine. Il essaya de parlementer avec dignité, sans menace. Il reprit.

- Notre monde change et court un grand risque. Il est temps de réagir madame.

Qu'allait-elle répondre, Aquaman haussa un sourcil.

Arthur attendait qu'elle donne son autorisation, cependant, il continuait d'admirer ses formes généreuses dans cette tenue moulante. Elle était attirante et elle le savait, la demoiselle jouait de ses formes qui était sans doute un de ses nombreux atouts. Le prince atlante se demanda combien d'hommes ont pu tomber sans ses filets, heureusement pour lui Mera occuper une grosse partie de ses pensées.

Les rafales de neiges continuaient de balayer cette pleine désertique et la maîtresse des lieux ne déclina pas l'offre du souverain et lui proposa de la suivre. Quant elle leva la main, Arthur se posa des questions, ses sblres devaient se trouver dans le coin, après tous la Ligue est connue pour sa discretion dans l'action. Il savait à partir de ce moment que son choix fut le bon.

Les deux inconnus commençèrent à prendre la route vers l'immense forteresse de la ligue, lorsqu'elle lui demanda son nom. Arthur ne chercha même pas à mentir, préférant être honnête.

- Je suis connu sous le nom d'Aquaman, souverain d'Atlantis et seigneur des océans. Mais vous pouvez m'appeler Arthur.

Le seigneur des océans suivait de près la guerrière, laissant ses yeux se perdrent à chacun de ses mouvements. Elle avait une grâce féline, ses hanches dansaient à chaque pas. Une étrange sensation le parcourut comme un frison, il reprit rapidement le dessus sur ses envies et reprit.

- En auront nous pour longtemps, notre entrevue sera courte, mes obligations me rappelerons rapidement.

Finalement, les paroles d'Aquaman furent mal comprise. Bien qu'il ne voulait pas chagriner, voir offusquer la patronne de la ligue des ombres, la demoiselle lui répond sur un ton hautain. Décidément, elle n'a vraiment peur de rien, une vraie dur à cuire, Arthur fini par se dire que tous les membres de la ligue sont sans doute du même accabit.

Il l'écoutait, la regarder se déhancher dans cette immense salle du trône. Il n'avait pas l'habitude d'être dans un tel endroit. Son royaume sous-marin s'ouvre sur le monde, bien entendu, ses nombreux passages dans la tour de guet furent court et ne lui permettaient pas de rester enfermé de longues heures. Mais aujourd'hui, pour une rencontre aussi cruciale, il n'allait pas compter les heures de discussions.

Arthur accepta la coupe de vin que lui amène Talia et en boit une gorgée. Tout en gardant un oeil amusé sur la jeune femme. Son regard à un quelque chose en plus, Arthur ne pourrait dire quoi, mais elle est étrange, tellement sexualisé. Elle doit être fait pour le crime ultime, le péché de tromperie. Les sentiments du prince Atlante se mélangent, son sang déferle dans ses veines. Alors qu'il essaye de réfléchir pour apporter une réponse convenable.

Il avale une nouvelle fois une gorgée du breuvage. Dépose le gobelet non loin de là et se reprend.

- Je suis trop prompte à réagir vite madame. Excusez-moi de mon soudain manque de tact, ce qui peut parfois me faire défaut.

Arthur pose son trident sur la table.

- Vous le savez sans doute, Superman est devenu un tyran, le chef unique de la terre depuis l'incident de Metropolis. Ses actes sont dangereux pour tout le monde, il veut le contrôle total. Il ne fera pas de quartier, même pour ses anciens compagnons. Demandez donc au Batman.

L'atlante sait qu'en parlant du Batman, la fille du démon réagira automatiquement. Lors d'une discussion avec la chauve-souris, les deux hommes ont longuement échangé sur le sujet de la ligue et la princesse au côté de la tête du démon.

- Tout ça pour dire, que le Kryptonien viendra un jour à vos portes. Vous proposant un marché. J'ai déjà eu un échange musclé avec lui et ses menaces furent nombreuses. Je redoute que notre monde sombre dans la tyrannie. L'alliance de Batman et compagnie ne pourra pas combattre seule. J'ai besoin de vous, de la ligue pour défendre la terre. Battre Superman, mais je ne me joindrais pas à l'alliance pour autant.

Il se tut, attrappa son verre pour en vider le contenue, ses yeux profond continuant de scruter les courbes de Talia. Arthur se mit à attendre une réponse de la jeune femme.

Arthur buvait clairement les paroles de la belle assassine, la forteresse l'imprégnait d'une force insondable. Elle appartenait à ses murs, tout comme l'atlante appartenait autant à l'océan qu'à la terre ferme. Bien que son coeur penche d'avantage vers l'eau et son royaume sous-marin.

Il écoutait attentivement la dame, buvant ses paroles, un délice épineux que de boire ses mots. Tout en la regardant, l'homme ressentait quelque chose d'étrange au fond de son coeur, une lutte entre le désir d'un moment passé dans sa couche et celui de faire demi-tour et rester fidèle à Méra. Le désir des hommes sont bien souvent trop simple à contenté et Talia al Ghul le savait très bien, jouant beaucoup de ses charmes et de ses formes généreuses pour faire tourner la tête à ses comparses.

Le prince atlante resta pourtant droit dans ses bottes un instant pour répondre à Talia.

- En effet, je souhaite que Superman chute de son trône maudit, sans pour autant le rejoindre. Quand j'ai intégré la Ligue de Justice, j'ai laissé le poste de dirigeant légitime à cette homme. Il avait mon respect et mon amitié. Mais depuis les six derniers mois, nous avons eu des désaccords , nous ne sommes plus aussi proche.

Il marqua une pause dans son monologue, cherchant un moyen courtois de parler de Batman. Un problème en soit, vu que les deux hommes ne sont pas particulièrement proche.

- Batman n'est pas un ami proche et son camp n'est pas non plus le meilleur. Enfin, je pense surtout que ses chances dans l'affrontement avec Superman est de zéro. Les gros bras de la ligue sont toujours auprès du tyran et Batman n'est pas connu pour avoir beaucoup d'ami proche. Le dernier en date veut le voir tomber. C'est pourquoi, j'apporterais mon aide à Bruce. Avant de retourner à l'océan et de continuer mes projets. Une coalition entre ses deux camps serait de bonnes augures.

Arthur en disait trop, son discours le menait vers une discussion un peu longue. Quand Talia le titilla un instant, l'idée d'être seul sur terre, ne lui avait jamais un problème, puisque Méra occuper une grande partie de son esprit et son coeur. Pourtant, ses yeux se baignèrent dans son regard, leurs visages trop proche. Arthur avança le sien et déposa ses lèvres sur celle de Talia.

L'atlante s'enivrait de ce baiser purement charnel, il subissait l'assaut buccale de Talia sans broncher. Il laissa ses mains parcourir son corps, un frisson long et régulier lui parcourait l'échine. Il n'avait jamais vraiment connu d'autre femme, Méra était la seule et unique demoiselle à laquelle Arthur c'est vraiment lié. La fille de Nanda Parbat était là, à cet instant, dans l'unique but d'avoir une relation purement sexuel.

Son esprit se trouvait ailleurs en ce moment, quand Talia recula et lui proposa de rejoindre ses propres appartements pour continuer la discussion. Arthur hésita un moment, ses pensées de retour vers Méra, la belle rousse serait folle, mais actuellement, les besoins corporels du justiciers se firent plus pressant. Il décida de suivre la fille de Ra's dans les escaliers et de grimper vers sa chambre.

Quelques minutes plus tard, l'homme se retrouva dans une chambre féminine à souhait, au style oriental. La chambre simplement éclairée de torche, une fenêtre donné sur un long balcon, avec une vue imprenable sur les montagnes. Il déposa son trident à l'entrée de la pièce. Puis, il découvrit Talia nu, allongé sur son lit tout de voile. Elle lui proposa l'hospitalité pour la nuit. Arthur inclina la tête.

-Quelques minutes plus tard, l'homme se retrouva dans une chambre féminine à souhait, au style oriental. La chambre simplement éclairée de torche, une fenêtre donné sur un long balcon, avec une vue imprenable sur les montagnes. Il déposa son trident à l'entrée de la pièce. Puis, il découvrit Talia nu, allongé sur son lit tout de voile. Elle lui proposa l'hospitalité pour la nuit. Arthur inclina la tête.

- Votre hospitalité me touche madame.

Il hésita un moment avant de rejoindre la couche de Talia, Arthur enleva son baudrier qu'il déposa aux côtés de son trident. Il vint s'installer sur le bord du lit.

Le charme d'une femme est l'arme la plus dangereuse, le pire pour un homme c'est quand cette femme connaît ses atouts. A l'époque mésopotamique, ce genre de demoiselle était considéré comme des diablesses, jouant de leurs corps pour séduire des hommes sans but, non par passion, par désir, simplement pour assouvir une envie, un besoin charnelle. La passion du corps prend souvent le dessus et les femmes fatales aiment bien ce penchant pour le plaisir de la chaire.

Arthur sentait ses doigts se crispaient sur les draps, alors qu'il observait Talia de tout son être. Son corps ondulait d'une démarche ténèbreuse, ses longs cheveux dansant sur ses hanches, quand elle s'arrêta pour se servir un verre. Elle revint vers le roi atlante. Arthur ne broncha pas, lorsqu'elle s'installa sur ses jambes, son sang vibrer, une pulsion sexuelle l'emplisser. Talia lui proposa un verre, mais Arthur refusa d'un geste de la main.

Quand elle l'embrassa à pleine bouche, se collant à lui. Le prince atlante sentait son corps se coller au sien, sa poitrine contre son torse musculeux. Il accompagna Talia dans ce baiser sans passion réelle, juste pour le plaisir. Ses mains quittèrent les draps, pour se poser sur ses hanches, l'une commença à grimper dans son dos, lui attrappa la nuque.

A ce moment, toutes les images de Méra s'échappèrent de son esprit, le sort charnelle de Talia faisait son oeuvre, seulement le gout dela chaire était présent. Il déplaça la jeune femme sur le matelas lentement, avant de se mettre au-dessus d'elle. Ses lèvres suivaient le mouvement de la fille du démon. Il ne se sentait pas capable d'arrêter, son attraction était trop forte.

Lors du rapport avec Talia, le seigneur atlante n'eut pas l'impression de ressentir quelque chose. Il eut quelques frissons, une pression pesant sur ses épaules, mais le visage de Méra se reflétait sans cesse dans ses yeux. La sirène de son corps avait envahit son esprit toutes ses longues années passés à ses côtés et pourtant pour établir une sorte de relation de confiance, l'homme est passé à l'acte dans un acte totalement incontrôlé.

Allongé sur le ventre, les bras sous un coussin épais, il laissait son esprit vagabonder, s'abandonner à son acte. Il s'en voulait, son estomac le tenaillait et son coeur jouait une musique rythmée infernale. Il ne se rend même pas compte que Talia quitte sa couche pour rejoindre son balcon, alors qu'un vent frais et glacial pénètre dans la pièce.

Soudain, une discussion entre Arthur et Superman revint chahuter ses pensées. Bien avant la chute de son héroïsme, bien avant la folie qui gangrène désormais son coeur et sa tête. L'homme d'acier comprenait déjà que le mal devenait une affaire à enrayé, mettre les criminels hors-jeu commencait déjà à le titiller. L'ont peut dire que la mort de Lois et l'attentat du Joker sur Metropolis fut le déclic qui engendra le monstre. La flamme qui alluma le brasier et qui installa le régime et la mort de la Justice League.

Toujours allongé dans cette couche de femme, entourait par des draps en soie. Aquaman fit un sursaut, quand le tintamarre de Talia le réveilla. Il se redressa sur le lit, les cheveux en bataille, les yeux encore embrumés. Il se leva encore dévêtu, avant d'enfiler son pantalon avant de prendre la parole.

- Que faisons-nous fille du démon ? Allons-nous nous allier pour lutter contre Superman ?